J'aimerais rêver de toi chaque nuit, dessiner les traits de ton visage du bout de mes doigts, caresser les lignes de ton corps et respirer ton odeur. Tu m'es inconnu car notre rencontre ne s'est faite que dans mon imagination débridée et pourtant j'espère cet heureux hasard, je le réclame du plus profond de mon coeur à la première étoile du soir. Où es-tu? Je t'attends. Ne m'oublie pas. J'ai peur, peur que ta venue ne signe mon déclin. Mais sans toi je ne suis rien, alors je ne fais que rêver de ta présence.

J'aimerais te retrouver ailleurs que dans mes songes, que notre rencontre se fasse au-delà de mes nuits. Tu hantes chacun de mes rêves sans jamais venir jusqu'à moi. Qu'importe le temps que cela prendra, je t'attendrais. Qu'importe les épreuves que je dois endurer, je sais que je te trouverais. Alors s'il te plaît, cesse de te faire désirer, prend le chemin de mon coeur, et viens me sauver de cette désolation qu'est ma vie..

J'imagine que le jour où tu traverseras ma vie, je ne pourrais plus m'éloigner de toi, tu seras mon tout. J'aimerais que tu ne sois pas aussi loin, car ça me fait tant souffrir. Je ne t'ai pas rencontré, mais je sais déjà à quel point tu es spécial. Je ne t'ai jamais vue, jamais touché, parfois je me demande même si tu existes. Mais je sais que tu es là, quelque part. 

J'aime à m'imaginer, dans un avenir plus ou moins lointain, que nos pas se rejoignent et que dans un élan, nos ombres ne forment qu'une. Tu panserais mes blessures passées, je te ferais connaitre la folie, tu me réapprendrais ce qu'est l'amour, je te monterais les chemins vers les étoiles. Mais déjà, le jour se lève, et dans mes songes tu disparais car ce n'est qu'un mirage, une image fugace d'un cœur trop déçu par ces coups portés, meurtrissant une vie à chaque fois plus courte...

 A savoir avant lecture : chaque morceau de phrase qui sont entre guillemet sont des titres de chansons que vous retrouvez dans la playlist ci-dessus. 

J'ai toujours conseiller aux gens d'avoir la philosophoe "Hakuna Matata". Cette façon de penser qui fait qu'on s'accroche alors que tout s'effondre autour de monde, mais je n'avais pas pensé qu'un jour je me dirais "Promet pas la lune" 

Très peu de personne arrive à voir ma peine derrière mes sourires, mes larmes invisible. Mais écoutez bien, il y a là un cri lancinant, une complainte si douloureuse, j'ai beau étirer mes lèvres en disant que tout vas bien, dans le fond, quand je regarde derrière moi, j'ai envie de "tout oublier". Devant les autres, hors de question de perdre la face, je me dit que "je garde le sourire". Et pourtant, je cache tellement de chose, s'ils savaient, s'ils voyaient qu'à l'intérieur je suis tout simplement "brisé". Il s'est passé tellement de chose, que par moment c'est mon côté "Dr Hannibal" qui apparaît. Une psychopathe sanguinaire, une aliéné sans scrupule qui rit à s'en décrocher la mâchoire... Mais dans le fond, j'ai juste envie d'hurler "Loin de cette vie". 

"Si j'étais un homme" je pourrais me permettre tellement de chose et surtout, je pourrais te dire "ne m'écoute pas". Mais je ne suis que moi, et "j'aimerais" qu' "all of me" se confonde dans un "amour parano". Au final, il y a "tant de haine", on sait bien que "les héros n'existent pas". J'ai souvent envie de me tourner vers celle dont j'entends dire de beaucoup qu'elle est "ta meilleure amie" peut-être serait-elle la mienne aussi, se serait l'idéal, la tentation à l'état pure. "Dans ma tête" c'est un remake de "Roméo et Juliette", j'aimerais tellement "Uncover" la "Blessure du passé" celle qui me vrille les tripes. On m'a voler cet éclat qui n'appartenait qu'à moi, enfin on... cet homme qui vit encore en liberté parce que j'ai été lâche, parce que personne ne m'a cru. Autant tout garder pour moi, plutôt que d'entendre les paroles pleines de venin me disant que c'est de ma faute, que j'avais bien chercher. Qui peut croire ça? 
Regarde "ce que la vie à fait de moi", un concentré de colère, un coeur noircie par la douleur qui "despacito" n'en peut plus de vivre. 

Je crois qu'inconsciemment, je me dirige toujours vers un "mauvais garçon" de ceux qui m'entraînerais un peu plus loin dans "mon monde secret". Pourtant j'ai essayé de le dire qu' "à cause de toi" tout à basculer, de crier "je te déteste" et la finalité se fera dans un "dernier sourire". C'est avec les larmes qui coulent, les sanglots dans la voix que j'aimerais savoir "Seras-tu là?", car je dois bien l'avouer "tu me manques encore". 
"It ain't me" de réclamer comme cela. Mais le désespoir me perd. Je suis perdu, désemparer et en moi la neige cache si bien le bloc de glace qui entour mon coeur. "Shape of you" au loin me fait avoir des illusions, ce qu'on appelle "Smoke and mirrors". 
Je voulais juste dire, dans un dernier soupir que "je m'excuse", je suis couverte de "stiches", je sais ce que je ressens et je ne peux pas te dire ces mots que tu espère, je ne peux pas pour le moment. Laisse-moi juste du temps. Je ne demande rien si ce n'est qu'un peu de temps. 

Au final c'est une playlist qui résume bien ma vie.... 

 Parfois, il suffit d'un mot, un seul, et on se réveil un matin en ayant l'impression que tout à changé. On peut-être apaiser, et la c'est le plus grand des bonheurs. On se retrouve, dans ces quelques secondes de réveil, ou le calme plat fait qu'on ne songe à rien d'autre qu'au bien qui nous est arrivé. Mais très vite, quelques petits détails viennent s'insinué vicieusement dans notre esprit... Alors même si on les repousse toujours plus fort, certains jours... ils sont trop fort. Ces jours-là, on commence les journées en se demandant comment elle aurait pu être autrement? Qu'est-ce qu'il aurait fallu faire pour qu'elle soit différente...

On vit tous ces débuts de journée-là. Et ces moments emplie d'une émotion si forte, qu'on pourrait avoir l'impression qu'une bombe à paillette à exploser dans notre tête. On a vécu quelques minutes si intense, que notre vision du monde se trouble pour quelques instants. Et on se demande si tout cela en vaut vraiment la peine... On regarde les gens passé dans la rue, pressé par le temps, se disputant pour tel ou tel raison, et nous, nous sommes-là avec cette émotion si puissante qu'on ne sait pas quoi en faire. 

Mais, il y a aussi les soirs... ceux où la nostalgie d'un passé trop douloureux, ou trop heureux, prends le pas sur le reste. C'est comme une bulle qui se forme autour de nous. Elle est entièrement invisible aux yeux des autres, mais c'est comme une aura qui se forme et nous enveloppe. Parfois, il s'agit juste d'un besoin de solitude plus fort, ou un coup de blues qui a besoin de passé de cette manière. Mais, il arrive que cela soit plus profond... Car le coup de blues se transforme en une angoisse suffocante qui nous pollue l'esprit et nous fait plongé dans des travers que nous ne voulons voir. Un malaise se créer, et ce qu'on pensait être bon devient douleur, chaque objet, chaque son, chaque être nous rappelle un passage douloureux de notre vécu. Et même si on la repousse de toutes nos forces, ce n'est parfois pas assez encore. 

Je me dis, qu'il suffit juste un élément, un seul, pour transformer ce qui est bon pour nous, en ce qui nous fait mal, et inversement. C'est en ça que la nature humaine est très complexe. Ce qui nous procurait de la joie fut un temps, peut, du jour au lendemain être la cause d'une douleur lancinante. Une ancienne blessure, peut elle devenir un souvenir serein à travers lequel on apprend une leçon, et d'autres choses qui nous paraissait si anodine, devenir soudain si important et porteuse d'une joie palpable. 

Parfois, il suffit d'un mot, d'un seul.

J'ai toujours été passionnée par l'écriture. De ces mots qui naissent dans l'esprit grâce à un regards, un souvenir, un moment précis. Des mots venant des maux, enfants de la douleur, de la peine, du chagrin. Enfants de la joie, de l'amour, du soleil... de l'odeur de la terre après la pluie. Ce moment où les mots se forment dans l'esprit et traverse le corps et qui enfin parcours le papier, cours sur un clavier. Parfois, je ne me rends même pas compte que j'écris, ça vient tout seul, alors je laisse libre place à ce qu'ils veulent transmettre. 

Je remarque que je fais énormément de texte, ou l'émotion de base se trouve être très sombre. Il n'y en a pas des masses qui soit "joyeux" et pourtant, je ne suis pas malheureuse. Les moments sombres sont juste pour moi, une source intarissable d'inspiration. Ces moments où, la nuit, noire et profonde, révèle à chacun qui il est vraiment. Dans ces moments là, je me laisse transporter par les mots...

J'aime les sensations grisante... Je crois même en être devenu accroc. Je ne sais pas exactement quand, je sais seulement que j'en ai maintenant "besoin". Ces petits moments où on se retrouve avec une tel charge d'adrénaline que ça en fait presque un shoot. Attention, une monté d'adrénaline ne signifie pas forcément une situation à risque (exemple: pas forcément un saut à l'élastique). Mais des moments, ou à l'intérieur de ma tête, tous mes "moi" seront en accord et ne formeront qu'une seule et même personne. A travers une musique, un moment particulier, un lâcher prise totalement incontrôlable. 

"Celui qui t'aide à trouver ton chemin dans la rue,
l'ami qui te console, la femme qui te supporte,
tout ce qu'il y a de plus important dans la vie n'est jamais rémunéré.
Elle est triste cette logique de contre-partie.
Vous n'avez rien payé pour être vivants,  et vous l'êtes pourtant.
Un jour, les plus humains d'entre vous découvriront que c'est une chance
et que, littéralement, elle n'a pas de prix.
En attendant, je vous invite sincèrement à vous interroger
sur le fonctionnement du monde et la place que vous souhaitez y tenir."
Et soudain tout change - Gilles Legardinier

"Je compte sur vous pour retenir la seule leçon
que j'aie vraiment cherché à vous apprendre :
faites de chaque jour un souvenir heureux.
A la fin, le bonheur est la seule chose que l'on emporte avec soi."
Tu comprendras quand tu seras plus grande
Virginie Grimaldi

"La vie avait continué après, la vie continue toujours.
Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire.
C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire.
Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois,
elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir
et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin.
Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser.
Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse.
Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi,
en accusant les autres, en buvant,
en prenant des petites pilules pour amortir le choc.
Valser, valser, valser.
Franchir les épreuves qu'elle t'envoie
pour te rendre plus forte, plus déterminée."
Les yeux jaunes des crocodiles
Katherine Pancol

J'ai toujours eu foi en l'être humain. Malgré que j'ai été blessé. J'ai entendu beaucoup de chose depuis le mois de Mai. Et j'ai surtout appris. Oui, j'ai appris. J'ai eu de mauvaises surprises, des personnes qui m'ont énormément déçu, qui m'ont trahi... Et au final, quand je regarde derrière : je ne leur en veux même pas. Je ne suis pas toute blanche non plus, j'ai eu des mots inadéquats, je me suis retrouvé perdu à ne savoir plus gérer les situations face auxquelles j'étais. 

Et même si nos chemins se sont séparé sur de "mauvaises choses", sur des malentendus, sur des non-dits, j'ai été heureuse de les avoir rencontré, de les avoir compté dans ma vie, de savoir que ces personnes ont compté pour moi. Car je les ai profondément aimé. Les gens auront beau dire... maintenant je ne regrette plus rien. Justement parce que... j'ai essayé. On ne pourra jamais me le reproché : j'ai toujours "essayé". Je voyais bien que ça ne menait à rien, que je fonçais droit dans le mur, que c'était une mauvaise direction... Je n'ai jamais voulu blesser, mais j'ai tellement voulu arranger les situations moi-même... que beaucoup se sont mépris sur mes intentions et m'ont imputer des choses ou plutôt une façon d'être qui n'était pas la bonne, ces personnes ne comprenaient pas.. n'ont pas essayé de comprendre. Je ne cherche pas à être plaint... parce que, justement, je ne regrette rien. Ces personne ont quitté ma vie, mais je leur serait toujours pleine de gratitude pour ce qu'elles m'ont apporté. Pour ce qu'elles m'ont fait ressentir. Parce que, grâce à elle : je suis enfin moi-même. Ça a mis le temps qu'il a fallut; mais je sais que, maintenant, je peux sourire à pleines dents... il m'aura fallu presque 2 ans. 2 ans à faire conneries sur conneries, à me perdre, me reperdre, mais au final, j'en suis là. 

Je sais que ces "autres personnes" connaîtront le bonheur. Franchement, je le leur souhaite de tout coeur. Je leur souhaite de trouvé le bonheur : car tout le monde le mérite. Je leur souhaite de trouvé l'amour et la félicité. Je leur souhaite vraiment le meilleur. Je me dis que , si la vie les a placé sur ma route, c'est pour une raison bien précise. Et je leur en suis tellement reconnaissante de ce qu'elles m'ont apporté,que se soit au cours des douze derniers mois ou au cours des dix dernières années... il s'est passé tellement de chose....

Aujourd'hui, la vie m'offre la chance d'être celle que j'ai toujours voulu être, celle que j'ai toujours été dans le fond, celle que je n'osais être par peur du regard des autres, par peur de ne pas être conforme à la société, mais au final... on s'en fiche de tout ça non? il est urgent d'être heureux (clin d'oeil à Lyvia) Alors commençons dès aujourd'hui.

Je veux voir ma famille heureuse, je veux voir celui que j'aime heureux, je veux savoir ses proches heureux, je veux me sentir utile au monde, je veux tellement de chose... C'est pour ça, je tenterais tout ce qui est possible et je ferais tout avec le sourire. Quand bien même des larmes coulent, et couleront encore sur mes joues, j'aurais toujours un grand sourire pour toutes les personnes qui comptent, qui ont compté, qui compteront pour moi. Alors... je voulais juste vous dire "Merci"...