• Clap, Clip, Clap Petite pluie d'Avril...

    "Rare sont les êtres qui laissent un vide
    réel derrière eux. Rare sont ceux qu'il vous
    tarde de serrer dans les bras, amicalement,
    sans un mot, avec le silence du coeur."
    Requiem des innocents - Louis Calaferte

    "La vie, on sait bien ce que c'est :
    un amalgame saugrenu de
    moments merveilleux et
    d'emmerdements."
    Les Thibault - Roger Martin du Gard

     

    "L'humour renforce notre instinct de survie
    et sauvegarde notre santé mentale."
    Charlie Chaplin

     

    J'éprouve toujours, au milieu de la nuit, cette grande mélancolie. Et en écoutant certaines chansons, je ne m'aide vraiment pas. Mais, j'ai avec moi, des soutiens plus que précieux. En attendant, je reste la, dans la pénombre de ma chambre, avec pour seule lumière : l'écran de mon ordinateur, et en ambiance, une playlist vraiment triste et le ronronnement de mes chats...

    Les dernières semaines ont été très difficile... et ma confiance je ne pourrais plus la donner comme avant. Certaines trahisons font plus mal que d'autre. Mais quand des personnes à qui tu t'es ouvert utilisent tes confidences contre toi... ça fait vraiment mal. De ce côté là, je ne suis pas sur de me relever.

    Clap, Clip, Clap Petite pluie d'Avril...

    Mes nuits sont peuplé de songes étrange, des songes tantôt oppressant, tantôt neutre. Ils sont souvent en noir et blanc, et je me réveil avec cette désagréable sensation de ne pas savoir si je rêve encore ou si je suis dans la réalité.

    Mais au final, qu'est-ce que la réalité? Est-elle réellement tel que nous la voyons? Je suis perdu dans le fil de mes pensées et ne sais pas vraiment comment gérer mes moments de réflexion trop intense... Le plus simple serait de "le" rejoindre... mais je ne peux pas. Et puis, je ne veux pas "le" déranger. Et pourtant... il est le seul qui m'apaise dans les moments de doute, de peur, de faiblesse. Il est ma force.

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  • Détaché. Détachement.

    "Il n'y a que les fous et les orgueilleux
    qui se croient assez malins
    pour s'en tirer sans l'aide de personne"
    Ça peut pas rater - Gilles Legardinier

    "- Qu'elle est la différence entre une attirance physique et le véritable amour?
    - Camille, on couche parce qu'on a envie. On aime parce qu'on a pas le choix."
    Et soudain tout change - Gilles Legardinier

    "Les hommes sont parfois long à comprendre,
    parfois encore plus à réagir,
    mais tous ne sont pas tous des monstres."
    Complètement cramé - Gilles Legardinier

     

    J'ai toujours eu la peur au ventre. Elle m'a toujours animé, je me disais, qu'au moins je serais en alerte sur tous ce qui entourait ma vie. Alors j'avais peur qu'il ne m'aime plus... Et pendant toutes ces années, c'était quelque chose qui me travaillait au coeur. Je ne pensais pas qu'un jour, ça serait moi qui ne l'aimerait plus. Plus comme avant, plus comme un homme.

    Alors, comme une idiote, j'ai refoulé cette réalité, je l'ai enfermé dans une petite boîte et caché bien à l'intérieur de mon coeur. J'ai pris un masque et j'ai commencé à interpréter un rôle, au point d'en oublier qui j'étais moi-même. Mais, on connaît tous cette expression "chasser le naturel et il revient au galop", le plus simple serait plutôt de le comparer à un boomerang. On se blottit dans une façon d'être qui n'est pas la notre, et à un moment donné tout explose, et la personne que vous êtes réellement vous fait un rentre dedans monumental, et tous ce que vous faisiez pour ne pas blesser les autres vous reviens en pleine gueule de manière douloureuse et quasi insupportable. Quasi hein? Oui, quasi. Car on fait avec. On a mal, les autres nous font mal. Mais au fond, ils ne savent pas pourquoi nous avons agit de tel ou tel manière. Ils ne voient qu'une seule chose : leurs déceptions et leurs colères. Pour finir, ils se vengent. 

    Ils torpillent la vie des autres, ne pensant qu'à une chose : la détruire, faire mal. Terriblement mal. Je me demande ce qu'ils pensent dans ses moments là... Je ne les blâme pas. Au contraire. J'ai juste de la peine pour eux. Car au final, ils n'essayent pas de voir au delà des apparences. Ils n'essayent pas de comprendre. Et si on regarde bien, ils ont fait exactement les même erreur que nous, mais ils se disent "ce n'est pas comparable" , "c'était différent". Alors, intérieurement, je souris, pas de joie, mais juste un sourire qui veut dire "quand ils verront leurs propre erreurs, ils comprendront les miennes, ils s'en voudront, mais à ce moment là, il faudra passer à autre chose." 

    L'être humain a toujours juger, critiquer. Enfin, critiquer est un bien grand mot, surtout de nos jours. A l'heure actuel, si tu te confie sur quelque chose qui ne t'a pas plus, automatiquement "tu critiques {untel} ou {untel}". Mais la réalité, c'est plus compliqué que ça non? Si tout se basait sur une critique, se serait tellement plus simple. 

    ~ Pantoufle a dit ou fait quelque chose qui n'a pas plus à Chaussette. Chaussette en a parler pour se confier à Pied. Chaussette s'étend confier reprend une existence normal, et soulager de s'être confier à Pied qui lui a apporter une oreille attentive et des conseils, Chausette peut ainsi continuer son amitié avec Pantoufle. Mais Pied à répéter à Pantoufle ce que Chausette à dit. Pied rajoute "Chaussette t'a critiquer" et comme ce n'est pas la première fois "elle critique tous le temps". Pantoufle est déçu et décide de couper les ponts avec Chaussette après lui avoir pourri la vie à travers Pied. ~ 

    Vous remarquez n'est-ce pas? Au final, Chaussette n'a fait que se confier par rapport à quelque chose qui s'est passé à un instant T. Mais les gens au final voient toujours ça comme une critique et disent qu'on "critique machin" ou qu'on "dévalorise machine" alors qu'on ne fait que se confier sans penser à mal. 

    Il faut maintenant passer à autre chose. Vivre notre vie. Et faire en sorte de vivre au mieux, de voir le positif de chaque chose. Et peut-être qu'un jour, les gens apprendront le pardon et la compréhension... 

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  • "L'inactivité comme l'oisiveté étaient, pour moi,
    mères de tous les vices.
    L'ennui et l'isolement me rongeaient
    sans que je puisse les affronter.
    Se lever, manger, se coucher.
    Ceci me paraissait bien vain !"
    Jusqu'à la fin des temps - Céline Guillaume

    "C’est une souffrance terrible, insidieuse, une souffrance de chaque instant,
    que de sentir renaître au fond de ce vieux corps dépourvu de vie qu’est le mien,
    les cendres de ces maudits sentiments ;
    que de sentir repartir au creux de ma poitrine ce feu dévastateur
    et dément que je croyais à jamais éteint."
    Les larmes rouges, tome 1 - Georgia Caldera

    "L'intensité des sentiments et la simplicité avec laquelle
    ils sont exprimés sont extrêmement émouvantes.
    Le collage, poignant de vérité, évoque une douloureuse histoire.
    La jeune femme se rend compte que son opinion est faite.
    Elle a sous les yeux la preuve que Milligan n'est pas un sociopathe
    totalement incapable de sentiments.
    Les autres peuvent continuer à douter,
    elle sait que son patient n'est pas un simple simulateur."
    Les mille et une vies de Billy Milligan - Daniel Keyes

    J'essaye toujours de me souvenir, savoir à quel moment il y a eu cette déchirure si douloureuse et si brutal. Je ne m'en souviens pas, et je ne sais pas plus comment l'exprimer. Le temps à beaucoup passé, mais c'était déjà le cas à l'époque. Je me disais, que si j'attendais, se serait mieux, que je ne cesserais jamais de l'aimer... et c'est parce que j'y croyais vraiment que c'était dur. Me dire que je l'aurais toujours, alors que plus rien n'était possible. Me dire que j'aurai été loin de lui, de ses bras, et qu'un jour tous cela n'aurait été qu'un simple souvenir. C'était inavouable.

    J'ai toujours eu peur, de l'oublier, de plus être capable d'aimer. Mais... J'avais tellement mal, aurait-il pu le comprendre? Aurait-il pu saisir cette douleur qui me vrillait de l'intérieur? C'était la meilleur solution, oui, je peux l'affirmer aujourd'hui. Malgré tout, je continue à me demande, à quel moment nos chemins ont-ils commencé à se séparer? A quel moment avons-nous cesser d'être tout l'un pour l'autre? Je n'arrive pas à me souvenir, tout cela remonte tellement. Cela fait si longtemps. A moins que... se ne soit pas ma mémoire mais mon imagination. C'est possible non? Et si c'est eux tous qui aurait raison, alors qu'à l'intérieur, je me sens tellement minable de la manière dont tout cela s'est finit. La fin, après des mois de luttes, de batailles.

    Je sentais en moi, un gouffre béant se creuser, et j'étais persuader que jamais il ne serait combler. Pourtant, l'espoir est revenu dans ma vie comme une hirondelle annonçant le printemps. J'aurais tellement souhaité qu'en lui et moi, se soit comme dans un conte de fée, car dans le fond, je sai sbien qu'il m'aimais vraiment, qu'à l'époque je l'aimais aussi. Entre nous c'était vrai... Alors, à quel moment à-t-on commencé à jouer la comédie? Ou bien... c'était peut-être notre destin de nous séparé, car ce "nous" n'était qu'une étape, une préparation pour ce que la vie nous réservais chacun de notre côté. 

    J'ai eu peur de son regard, de la souffrance que j'y aurai lu, je savais que je n'aurais su y résisté, j'aurai eu envie de lui dire toutes ces choses pour le rassurer, mais c'était me voiler la face. Et pourtant, c'est ce que j'ai fais, j'ai édulcorer, j'ai voulu combler la douleur que je lui faisais endurer avec du coton coloré en pensant que ça irai mieux. Mais quand on pose un pansement, il ne faut pas oublier qu'il faut l'enlever en tirant d'un coup sec... Moi... Je n'ai pas su tirer d'un coup sec... J'ai été lâche. Il a fallu se dire adieu, partir chacun de notre côté. Peut-être qu'un jour nos chemins se recroiseront... Mais le temps passe et je ne disais rien. J'attendais, je ne sais pas exactement quoi, je savais à quel point ça aurait été dur. Je ne voulais pas le faire souffrir... Mais à l'intérieur, je voulais faire cesser ce mal qui me rongeait jusqu'au os... Je devais te dire adieu... 

    Je me relis, et je vois à quel point j'ai été cruel. Envers lui, mais surtout envers moi-même. J'aurais pu éviter tellement de chose, éviter les disputes, les quiproquos, les faux semblants, la compassion... la pitié. Il y a des décisions que l'on prend, qui ne sont pas les bonnes, à la fin, on n'en retire pas une erreur, mais une leçon. J'ai beaucoup appris, oui, la vie m'a fait la leçon, une leçon dur, éprouvante et qui reste graver en soi comme un marquage au fer rouge... 

    Je t'ai aimé, au moment même où je t'ai vue, et je t'aimerai toute ma vie...

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  • Contrainte... Contraire... Contre

    C'est un de ces jours ou la forme n'est pas là. Un de ces jours ou les sentiments sont en sens contraire avec ce que je ressens. Ah les beaux gens ! Allez-y parler sur moi, crachez votre venin. Vous ne saurais jamais à quel point, mon âme noirci par vos paroles traître vous déteste, a quel point votre attitude me répugne et me tord les boyaux jusqu'au me faire vomir. Ah! elle est belle votre vie que vous dîtes si bien. Des jours mornes qui s'écoulent et dont mes larmes n'ont de cesse de couler sous vos regards dédaigneux et votre arrogance. Vos langues sont des poignards aiguisés que je ne peux contrer et vous me les planter, les retourner, vous infliger encore et encore les même blessures sans vous souciez du mal que vous avez causé. Vengeance? Mon âme est noircie, mais la votre est souillé par des égos surdimensionné. Vous êtes les Narcisses de cette société que vous nourrissez... Vous jugez et critiquez sans vergogne, sans vous regarder dans un miroir... Et pourtant, vos erreurs sont si semblable aux miennes... 

    Pourtant, je le sais. Oui je le sais que là-bas, le monde sera plus lumineux. Que le vent qui caressera mon visage sera doux. Que des mains m'accueilleront avec bienveillance et sécheront mes larmes avec tendresse. Je sais qu'avec eux la douleur sera moins forte et la fin plus douce. Que la douleur qu'ils m'infligeront sera pour moi source de guérison et que dans un soupir de soulagement mon coeur sera léger de tout sentiment. Serait-ce possible alors....... NON il ne faut pas penser à cela. Choisir la facilité... serait faire preuve de lâcheté. Et maintenant, tout ce que je souhaite, c'est me battre encore et toujours. De toutes mes forces, avec hargne. Ce n'est pas un combat gagné. Ce n'est pas une bataille engagé en vain. C'est une lutte pour ce qu'il y a de plus beau, pour ce qu'il y a de bon en chacun de nous... C'est une bataille pour moi-même! 

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  • Bataille affective

    "Il y a des salauds
    Qui pillent le cœur des femmes
    Et des femmes qui n'savent plus trop
    D’où l'amour tire son charme"
    Serre-moi - Tryo 

    "Abandonné, être à tes côté j'aurais tant aimé
    Te prendre la main, j'voulais t'emmener
    Mais l'destin a choisi de nous éloignés
    Moi j'veux crier, tout oublier, prendre le temps de t'retrouver
    Oui j'veux crier, tout oublier, mais tu me manques, j'peux pas l'nier" 
    Tout oublier - Ridsa

    "Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées
    Les guitares et les cris
    Rappelle-moi qui je suis, pourquoi je suis en vie"
    Si jamais j'oublie - Zaz

    Il y a bien longtemps, j'ai songer que l'amour était un sentiment bien étrange, car, bien qu'on pense qu'il soit merveilleux, que le monde est rose et qu'on sentent des papillon voler dans notre ventre, il fallait se rendre à l'évident que l'amour, ça nous détruit. Petit à petit, ça nous ronge de l'intérieur pour ne laisser que de longues cicatrices, des plais vives, des douleurs insoutenables et une immense crevasse, un précipice, le vide infini. Je pensais ne plus ressentir à nouveau cette sensation unique, ce moment ou notre coeur bat, ou mes émotions seraient si intense que je manquerais de souffle et ou le bonheur serait présent. Ce moment ou je pourrais à nouveaux rire aux éclats, inondé par la joie. 

    Je pensais que mon coeur dépérissait chaque jour. je sentais les ruines laisser par ce que j'éprouvais à l'époque, laissant place à un vide mystérieux. Une envie de plus rien ressentir. Une envie de me laisser dépérir. Mais ça... c'était il y a bien longtemps. Lorsque je regarde derrière mois, j'ai l'impression qu'il y a plusieurs décennies qui se sont écouté, et pourtant, ça ne fait que quelques mois, un an au plus. Tellement de route a été parcouru... Je croyais être lasse, mais, au final, je n'avais juste plus de but dans la vie. Tout à changé aujourd'hui. L'histoire peut continuer à s'écrire...

    Beaucoup diront que j'ai tourné la page. Je dirais plutôt que j'ai fermé le livre et que j'en ai démarré un nouveau. Ma vie ne fait que commencer. J'ai tencore tellement de chemin à parcourir, de monde à découvrir. Mais je ne veux pas le faire seule, être avec cette personne si spécial pour moi. Avec qui je me sens capable de tout. Cette force que tu m'as insuffler n'a pas fait que me relever, elle m'a redonné le goût de vivre. 

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